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dimanche 15 octobre 2017

Allemagne : la célèbre « grand-mère révisionniste » Ursula Haverbeck, 88 ans, emprisonnée !


Ursula Haverbeck, née le 11 novembre 1928 (88 ans), est une militante révisionniste allemande, ancienne membre du Parti écologiste-démocrate jusqu’à son éviction en 1989. Elle a été une des fondatrices de la Société pour la réhabilitation des personnes persécutées pour leur réfutation de l’holocauste dans les années 2000. Elle est depuis dans le viseur de la « police juive de la pensée », bras armée du judaïsme politique chargé de maintenir la vérité sous le boisseau. Elle cumule ainsi un nombre impressionnant de procès et condamnation pour le simple fait d’avoir fait usage de sa liberté d’opinion et d’expression.

Ursula Haverbeck a ainsi écrit une lettre au maire de Detmold, une ville dans le nord de l’Allemagne, dans laquelle elle a fait référence à Auschwitz comme étant un « mensonge » et affirmé que le camp de concentration n’était pas un camp d’extermination, mais un camp de travail. Ursula Haverbeck a nié que les nazis avaient gazé les juifs à mort, affirmant que cela n’était « pas historiquement prouvé ». « L’Holocauste est le plus grand et plus durable mensonge de l’histoire », a-t-elle également déclaré lors d’une interview télévisée relative au procès de l’ancien garde SS Oskar Groening.



En juin 2015, Ursula Haverbeck est mise en examen pour avoir déclaré que le génocide des juifs par les nazis était le « plus gros mensonge » de l’histoire. Le 12 novembre 2015, elle est condamnée à 10 mois de prison pour « incitation à la haine » par un tribunal de Hambourg. Ayant perdu l’appel par lequel elle contestait cette condamnation et cette peine, elle a été emprisonnée fin août pour ce délit d’opinion !

Comme si cela ne suffisait pas, le 29 août dernier Ursula Haverbeck a également été condamnée à 2 ans de prison ferme, qui s’ajoute à la peine qu’elle vient de commencer à purger, pour incitation à la haine, sédition et rébellion mais en réalité en raison de sa réfutation de l’holocauste parue dans un journal allemand local, La Voix du Reich.

Liberté pour Ursula Haverbeck !




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