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samedi 9 décembre 2017

Avec un siècle d'avance, Alfred Naquet démasquait Pierre Vidal-Naquet



Décembre 1978 : le professeur Robert Faurisson remet en cause l'existence des « chambres à gaz » homicides dans les camps allemands. Février 1979, 34 historiens répondent : « Il n'y a pas, il ne peut y avoir de débat sur l'existence des « chambres à gaz ». » Cette déclaration a été rédigée par Pierre Vidal-Naquet. Jusqu'à sa mort, sa position resta celle-ci : « on ne discute pas avec les révisionnistes. » Et en effet, aucun historien n'a jamais accepté de débattre loyalement, face à face, avec un révisionniste. Plus grave : depuis 1990, la loi punit d'amende et de prison l'expression publique des thèses révisionnistes. En France et dans un nombre croissant de pays d'Europe, vous n'avez pas le droit de vous interroger sur l'existence des « chambres à gaz » homicides allemande. Aucune discussion publique n'est autorisée. Les doutes, même, sont punis s'ils sont exprimés publiquement... Mais qui a écrit : « La réflexion ne profite qu'aux idée justes ; les idées fausses ne supportent pas l'examen et ne peuvent vivre qu'autant qu'on ne le discute pas... » ? Ces affirmations sont d'un autre Naquet, Alfred, dans son livre sur le Divorce paru en 1881. Pierre Vidal-Naquet démasqué un siècle auparavant par son coreligionnaire Alfred Naquet. L'histoire est pleine de surprises... et toute personne honnête conclura d'elle-même.

Pour visionner l'éditorial :

Sur l'ancienne chaîne Youtube (bloquée en France) : https://youtu.be/eGAQjkwmwPE

Sur la nouvelle chaîne Youtube (vite avant la censure) : https://youtu.be/qKP3lPxnnLc


Sur BitChute : https://www.bitchute.com/video/iGPzsZIFtqtf/


Avec les amitiés de toute l'équipe,

L'équipe de Sans Concession