Pieter Kerstens
Il
ne se passe plus une semaine, sans que la capitale de l’Eurabia ne soit
le théâtre d’émeutes. Elle est fort lointaine l’époque où Jacques Brel
chantait « c’était au temps où Bruxelles brusselait …»
Ce
samedi 25 novembre les casseurs, racailles et autres beurs ont choisi
l’avenue Louise et le quartier Matongé pour détruire tout ce qui n’est
pas à leur goût.
Le
gouvernement belge pour sa part persiste dans le déni des réalités et
semble ignorer les leçons à tirer des émeutes qui, depuis 1995, se
multiplient au grand bonheur des complices de l’Islam conquérant. Parce
qu’il ne faut pas porter les lunettes roses des politiciens
socialo-écolo-marxistes pour constater que ces répétitions de
déprédations gratuites ne sont pas l’œuvre de mécontents ardennais,
flamands ou expatriés français.
Une
responsable élue écolo de la commune de Molenbeek vient de découvrir
l’eau chaude. Ce week-end elle déclarait aux médias : « C’est hallucinant de se dire que la plus grande mosquée de Bruxelles était aux mains du pays (l’Arabie Saoudite) qui défend l’Islam le plus rigoriste. »
Cette idiote réclame en outre « encore plus de mixité », alors qu’à
l’inverse les musulmans mettent tout en œuvre pour chasser les derniers
blancs des quartiers qu’eux-mêmes occupent. Il suffit de circuler dans
les zones de non-droit, non seulement à Molenbeek, mais aussi à
Bruxelles, à Schaarbeek, à Forest ou à Anderlecht. Et lorsque les
classes moyennes foutent le camp, les recettes fiscales diminuent.
FAIRE FACE !
Malgré
les ravages économiques, sociaux, culturels et financiers, la secte
socialo-écolo-libéro-capitaliste, au pouvoir de l’Agglomération de
Bruxelles depuis bientôt 30 ans, refuse d’appliquer l’Ordre et la Loi
sur son territoire et autorise, par laxisme et complaisance, toutes les
dérives de la communauté maghrébine. Tous ont estimé que ces immigrés
pouvaient s’intégrer ou s’assimiler à la société et aux mœurs des
Bruxellois. Erreur ! C’est l’inverse qui s’est imposé avec la
multiplication des mosquées, des boucheries hallal, des cantines sans
cochon, des babouches, des kamis chouars et des burqas.
En conséquence et pour ne pas choquer la susceptibilité de ces « nouveaux Belges »
les bourgmestres (maires) et les politicards à la tête des 19 communes
bruxelloises interdisent à la police d’appliquer la loi envers la
racaille et les délinquants qui, semaine après semaine, testent la
résistance du Pouvoir à leurs débordements. Il ne faudrait quand même
pas mécontenter ces électeurs potentiels … qui crachent sur notre
civilisation.
QUAND CE N’EST PLUS SUPPORTABLE, ON NE SUPPORTE PLUS !
De
nombreux électeurs bruxellois blancs en ont ras-le-bol de la mansuétude
des élus vis-à-vis des exactions commises par des délinquants immigrés.
En octobre 2018 de nouvelles élections communales auront lieu en
Belgique. Mais face à l’immobilisme et à la lâcheté des édiles locaux,
il est fort probable qu’une partie du corps électoral exprime son
exaspération dans les urnes et que l’on assiste au renouveau des partis
nationalistes et identitaires, les seuls ayant dénoncé au fil des ans le
danger de l’immigration/invasion et de ses corollaires d’insécurité, de
baisse du niveau scolaire, du chômage endémique, de la haine de
l’Europe, de trafics divers ou du terrorisme. Même les touristes
étrangers dénoncent la décrépitude de la capitale de l’Europe.