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mardi 12 décembre 2017

Le mariage pour tous est-il en train de s’étendre à la zoophilie ?

Pierre Selas

Avant de devenir des lois, les idées doivent obtenir un relatif consensus en matière de culture et de mode de vie.

Le « mariage pour tous », par exemple, ne fut voté qu’à la suite d’un intense labourage culturel qui a débuté dans les années soixante. Dans ce cas précis, il aura fallu, au gouvernement d’alors, à la fois mépriser la démocratie, ne pas tenir compte des manifestations incroyables de 2013 et de 2014 et même s’asseoir sur la loi en déclarant irrecevable une pétition de plus de 700.000 signatures, pétition remise au Conseil économique et social.

Bref, après 40 années de combat culturel, il leur fallait encore passer en force….
Ce fut un passage en force sans doute, mais non pas une émeute. Car jamais cette loi ne serait passée si les esprits du plus grand nombre n’avaient pas été préalablement préparés à l’union civile de deux personnes de même sexe ou tout au moins à une certaine indifférence à ce sujet.
Et c’est en observant ce qui se passe aujourd’hui dans le champ culturel que je vous annonce dès à présent, l’extension future du domaine d’application du « mariage pour tous » aux………. animaux.
Oui, cela vous parait énorme car vous imaginiez sans doute son extension ailleurs : aux mariages à trois ou à quatre, par exemple. Et sans doute avez-vous raison. La polygamie entrera sûrement dans la loi un de ces jours prochains. « Parce que ça existe déjà » vous diront nos gentils « progressistes… ». Mais ils iront plus loin. Ils iront bien au-delà.
Car dans le champ culturel, aujourd’hui, c’est la zoophilie qui a le vent en poupe.
C’est ainsi qu’on pouvait « contempler » au centre Pompidou, il y a quelques semaines, une « statue » de douze mètres de haut représentant un homme sodomisant son chien. Et comme, naturellement, c’est de la culture (financée d’ailleurs par vos impôts), il vous est interdit de trouver ça choquant.

Dans le même registre, on voit paraitre ces derniers jours dans les gares et les stations de métro, une réclame pour un groupe de rock.
Et sur cette photo, un androgyne (mi chèvre-Michou !) à peine pubère, est visiblement très attiré par un chimpanzé…

Or quand une personne normale (une amie) s’insurge auprès du bureaucrate ayant autorisé cette horreur (en l’occurrence, madame Valérie Michel-Ansellem, Présidente du jury de déontologie publicitaire), voici le courrier qu’elle reçoit :
jury.jpg